Syndrome de l’imposteur : Et si tu avais toutes les raisons d’être légitime ?
Dernière mise à jour : il y a 5 jours
Introduction : Lors d’un atelier de coaching, une cliente m’a dit : « Je suis là par hasard. J’ai juste eu de la chance. » Pourtant, elle avait 15 ans d’expérience, une expertise pointue et le respect de ses collègues. Ce sentiment d’illégitimité a un nom : le syndrome de l’imposteur. Et s’il t’empêchait aujourd’hui de valoriser pleinement ton parcours professionnel ?
1 : Identifier la problématique
Le syndrome de l’imposteur touche des profils très compétents, qui doutent pourtant de leur valeur. Il se manifeste souvent au moment de mettre à jour son CV, de rédiger son profil LinkedIn, ou de préparer un livret VAE. On minimise ses réussites, on évite les mots trop valorisants, on hésite à se montrer. Selon une étude de l’Observatoire de la santé psychologique au travail, près de 7 cadres sur 10 disent avoir déjà ressenti ce type de blocage.
👉 T’est-il déjà arrivé de passer plus de temps à t’auto-censurer qu’à te valoriser dans ton parcours ?

2 : Pourquoi ce sujet te concerne directement.
Ce syndrome de l'imposteur peut te freiner dans des moments-clés : entretien d’embauche, reconversion, promotion ou dossier de VAE. Il ne s’agit pas d’un manque de compétences, mais d’une difficulté à les assumer et à les mettre en avant. Et cette posture invisible agit comme un plafond de verre : tu te sabotes sans t’en rendre compte. En restant dans la retenue, tu passes à côté d’opportunités que tu mérites pleinement.
3 : Proposition de pistes de réflexion pour surmonter le syndrome de l'imposteur
Et si tu faisais une pause pour noter trois réussites concrètes dont tu es fier/fière, même modestes ?
Quelques pistes pour sortir de cette spirale :
Revenir à l’objectif et au résultat : plutôt que de dire "j’ai simplement participé", précise ce que tu as initié, géré, finalisé.
Faire appel à un regard extérieur bienveillant : collègues, amis, coach… Ils peuvent t’aider à voir ce que tu oublies de mentionner.
Utiliser le cadre du CV vidéo ou du livret VAE pour structurer ton discours : ces formats t’obligent à formuler tes apports de manière claire et construite.
Comprendre le mécanisme du syndrome : il s’agit souvent d’une exigence excessive, pas d’un manque réel. Le savoir, c’est déjà s’en libérer un peu.
4 : Le bénéfice concret à en tirer
En apprenant à valoriser ton parcours avec justesse, tu transformes la perception que les autres ont de toi… et que tu as de toi-même. Tu gagnes en clarté dans ton positionnement, en confiance dans les échanges, et en sérénité dans les démarches comme la VAE, le CV ou l’entretien. C’est un levier puissant d’alignement entre qui tu es et ce que tu veux transmettre.
Conclusion : Le syndrome de l’imposteur ne disparaît pas d’un claquement de doigts, mais il peut devenir un révélateur. Et si tu décidais d’en faire une étape vers une meilleure reconnaissance de ton propre parcours ?
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